mercredi 15 février 2017

L’énigme de la clef, de Véronique Avart



Une clef énigmatique…

Caroline, 22 ans, jeune fille bien sous tous rapports a reçu une éducation exemplaire.
Elle sait se tenir, ne touche pas aux mauvaises choses de la vie et va à l’église.
Un train-train quotidien sans étincelle !
Elle décide de quitter ses parents pour travailler dans une agence de voyage.
Deux ans qu’elle à quitter ses parents, deux ans qu’elle vit seul, deux ans que sa vie à radicalement changée.
Elle qui souhaitait apporter un peu de mordant à sa vie va être servie depuis sa rencontre avec Patrice.
Patrice est un loubard qui n’hésite pas à la manipuler.
Caroline, perdu dans ce monde loin de son éducation, jeune fille garé va complétement se dévergonder. Elle va de mal en pis, plonge dans l’alcool, se laisse aller.
Jusqu’à cette prise de conscience !! Elle doit arrêter et reprendre sa vie en main. Mais patrice la tiens et ne veut pas qu’elle lui échappe.
La véritable passion à Caroline, ce sont les vampires, que ce soient en film ou en livre, elle adore. Jusqu’à être persuader qu’ils existent réellement.
Sa vie est sans dessus-dessous, elle peine à sortir de la situation dans laquelle elle s’est engouffrer. Un soir elle rencontre Dimitri, cet homme étrange. Va-t-il l’aider à s’en sortir ou la guider un peu plus dans le gouffre dans lequel elle se trouve ?

L’auteur, Véronique Avart joue tout au long de son roman avec le langage.
Mélangeant avec subtilité le langage familier et le soutenu. Le lecteur se retrouve entre deux époques. Un passer très lointain du siècle dernière et aujourd’hui.
Ce procédé entraine chez le lecteur l’éveille à la curiosité et le maintien accrocher à l’intrigue dont le dénouement n’est qu’en dernière page.

Depuis sa nuit passée chez Dimitri, Caroline est obsédée par la clef. Un clef dont elle ignore le sens et l’utilité mais sens la nécessité de la retrouver.
La présence de cette clef apparu dans les pensées de Caroline peut perturber le lecteur dans le court du récit. Mais lorsque celui-ci comprend sons sens et son utilité, toute l’histoire prend sons sens en même temps que cette clef, qui est l’énigme.

Les personnages sont bien construits et le lecteur peut aisément comprendre les réactions de Caroline.

Une lecture agréable, un auteur qui sais maintenir le suspense tout le long de son roman.
Une écrivaine à découvrir !

L’énigme de la clef, de Véronique Avart, auto-édition, juillet 2016, 168 pages.

Ma note : 15/20         

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