Une clef énigmatique…
Caroline,
22 ans, jeune fille bien sous tous rapports a reçu une éducation exemplaire.
Elle
sait se tenir, ne touche pas aux mauvaises choses de la vie et va à l’église.
Un
train-train quotidien sans étincelle !
Elle
décide de quitter ses parents pour travailler dans une agence de voyage.
Deux
ans qu’elle à quitter ses parents, deux ans qu’elle vit seul, deux ans que sa
vie à radicalement changée.
Elle
qui souhaitait apporter un peu de mordant à sa vie va être servie depuis sa rencontre
avec Patrice.
Patrice
est un loubard qui n’hésite pas à la manipuler.
Caroline,
perdu dans ce monde loin de son éducation, jeune fille garé va complétement se dévergonder.
Elle va de mal en pis, plonge dans l’alcool, se laisse aller.
Jusqu’à
cette prise de conscience !! Elle doit arrêter et reprendre sa vie en
main. Mais patrice la tiens et ne veut pas qu’elle lui échappe.
La
véritable passion à Caroline, ce sont les vampires, que ce soient en film ou en
livre, elle adore. Jusqu’à être persuader qu’ils existent réellement.
Sa
vie est sans dessus-dessous, elle peine à sortir de la situation dans laquelle
elle s’est engouffrer. Un soir elle rencontre Dimitri, cet homme étrange.
Va-t-il l’aider à s’en sortir ou la guider un peu plus dans le gouffre dans
lequel elle se trouve ?
L’auteur,
Véronique Avart joue tout au long de son roman avec le langage.
Mélangeant
avec subtilité le langage familier et le soutenu. Le lecteur se retrouve entre
deux époques. Un passer très lointain du siècle dernière et aujourd’hui.
Ce
procédé entraine chez le lecteur l’éveille à la curiosité et le maintien
accrocher à l’intrigue dont le dénouement n’est qu’en dernière page.
Depuis
sa nuit passée chez Dimitri, Caroline est obsédée par la clef. Un clef dont
elle ignore le sens et l’utilité mais sens la nécessité de la retrouver.
La
présence de cette clef apparu dans les pensées de Caroline peut perturber le
lecteur dans le court du récit. Mais lorsque celui-ci comprend sons sens et son
utilité, toute l’histoire prend sons sens en même temps que cette clef, qui est
l’énigme.
Les
personnages sont bien construits et le lecteur peut aisément comprendre les
réactions de Caroline.
Une
lecture agréable, un auteur qui sais maintenir le suspense tout le long de son
roman.
Une
écrivaine à découvrir !
L’énigme de la clef, de Véronique Avart,
auto-édition, juillet 2016, 168 pages.
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