dimanche 30 juillet 2017

L’absente, de Duroy Lionel



La Madeleine de Proust

Augustin, écrivain a tout perdu.
Il vient de divorcer, sa maison vient d’être saisit.
Il embarque dans sa vieille voiture tous les objets importants pour lui et prend la route.
A la recherche d’une maison qui lui conviendra, un endroit où se poser, un lieu coup de cœur !!!
Durant sa traversée de la France, il va rencontrer une femme qui va le poursuivre dans sa future quête.

Les kilomètres sont avalés et les souvenirs de son enfance refont surface.
L’histoire de sa mère et de son père. Tous deux décédés.
Les liens ou non-liens qui unissaient le fils au père, le fils à sa mère et aussi la mère au père.
Des relations complexes !
Lui qui prenait sa mère pour une folle, va à son âge découvrir la véritable mère qu’il n’avait pas su voir dans son regard d’enfant. C’est décidé son prochain roman aura comme sujet ‘‘La mère, sa mère’’.

Un roman très introspectif, qui se lit d’une manière très fluide.
Un magnifique rendu sur les relations qui relient un enfant à sa mère.
Tout au long du roman, le lecteur sera tenu en alerte par l’énigme : qui était vraiment cette femme qui fut sa mère et pourquoi a-t-elle plongé dans la dépression.

La haine, la colère, le doute, mais aussi la joie et le bonheur sont les sentiments maitres de ce roman.
Un petit bonheur psychologique qui met en avant la vue d’un enfant sur ses parents, l’incompréhension qui s’éclaircit à l’âge adulte.
C’est dans des moments de détresse, tel que celui que subit Augustin, que l’on découvre qui ont véritablement été les parents.
Fabuleux témoignage d’un fils pour sa mère.

L’absente, de Duroy Lionel, édition Julliard, août 2016, 352 pages.


Ma note : 20/20

mardi 25 juillet 2017

Mes petits commentaires......

Bonjour à tous et bienvenu sur mon blog.

Aujourd'hui je vous propose de découvrir : Mes petits commentaires.
Mes petits commentaires ce sont des minis avis sur des lectures que j'ai pu avoir, mais qui par manque de temps ne peuvent faire l'objet d'une grande chronique ( non pas qu'ils ne le mérite pas, ne vous méprenez pas!!)!!!!!!!

Je vous souhaite à tous une agréable lecture et on commence tout de suite.....

Désolation de David Vann, édition Gallmeister, 296 pages, mai 2011.

Genre littéraire : Nature Writing.


Quatrième de couverture : 


Sur les rives d'un lac glaciaire au cœur de la péninsule de Kenai, en Alaska, Irene et Gary ont construit leur vie, élevé deux enfants aujourd'hui adultes. Mais après trente années d'une vie sans éclat, Gary est déterminé à bâtir sur un îlot désolé la cabane dont il a toujours rêvé. Irene se résout à l'accompagner en dépit des inexplicables maux de tête qui l'assaillent et ne lui laissent aucun répit. Entraînée malgré elle dans l'obsession de son mari, elle le voit peu à peu s'enliser dans ce projet démesuré. Leur fille Rhoda, tout à ses propres rêves de vie de famille, devient le témoin du face-à-face de ses parents, tandis que s'annonce un hiver précoce et violent qui rendra l'îlot encore plus inaccessible.

Après Sukkwan Island, couronné par le Prix Médicis 2010, le second roman de David Vann est une œuvre magistrale sur l'amour et la solitude. Désolations confirme le talent infini de son auteur à explorer les faiblesses et les vérités de l'âme humaine.
 
Mon avis:

Dans son deuxiéme roman, David Vann peint, comme à son habitude, cette nature hostile à l'homme.
Alaska, entre terre et mer, des températures et un temps inhospitalité. Dans lesquels un couples veut à tout prix se créé un chez-soi!
Des personnages qui sont confrontés à eux-mêmes. A ce qu'il sont et leur nature humaine.

Les Plus : L’atmosphère pesante qui fait sentir au lecteur qu'un événement horrible va se produire. On veut absolument savoir de quoi il s'agit!!!   
Les Moins: Quelques longueurs qui ralentis parfois la lecture.

Ma note : 16/20


Une lecture que j'ai apprécié!

vendredi 21 juillet 2017

Le Psy, le Caniche…et Moi, d’Elisabeth Nihous



Un roman pétillant !!!!

Le psy, c’est le mari : Marc.
Moi, c’est la narratrice : Charlotte.
En ce qui concerne le caniche…. je ne vous en dis pas plus, seulement qu’il est question d’un caniche mais lequel ?

Charlotte Russo est traductrice et son mari est psy. Ils ont un enfant ou plutôt un ado, Max.
La particularité de Max, il est un maniaque de la propreté.
Une maladie qui le pousse à passer des heures sous la douche, rituel sur rituel de lavage.
Le nombre de lingettes qu’il utilise au quotidien est surprenant !
Ces parents ne savent plus quoi faire pour l’aider.

Le cœur de l’histoire est la tromperie du mari.
Charlotte est restée sur ses acquis, ne s’apercevant de rien. Mais lorsqu’elle découvre la vérité tout son quotidien se voit bouleversé.
Elle n’a plus d’appétit et va peu à peu retrouver son corps de jeunette sans faire de régime, c’est le bon côté de la chose !
Elle se transforme en lionne et ne lâchera pas ce qui est à elle !!!
Cherchant tous les moyens pour surveiller son mari qui ne veut pas avouer son forfait.
Parfois avec l’aide de son fils !
Heureusement que ses amies et sa tante Sidonie sont là pour l’épauler et mettre un grain de folie dans sa vie.
Réussira-elle à reconquérir son mari et sauvé son couple ?


Des dialogues plus vrais que natures, des personnages aux psyché et réactions haut en couleurs et auprès desquels les lecteurs ne peuvent se dire qu’une chose : j’aurais exactement fait ça !!!

Un roman plein d’humour qui ne pourra que scotcher son auditeur aux pages.
De l’optimisme, prouvant que si on se donne les moyens en amour tout est possible.

Pétillant, prenant, une fois les premiers pages commencées vous ne le lâchez plus !!!

Le Psy, le Caniche…et Moi, d’Elisabeth Nihous, autoédition, avril 2017, 422 pages.

Ma note : 20/20

lundi 17 juillet 2017

Les Editions Abordables et Anne-Sophie Le Bris



Aujourd’hui je viens vous parler de l’événement : Le Goût des Livre, auquel j’ai assisté le 8 juin 2017.


Petite introduction ou comment j’ai rencontré Anne-Sophie Le Bris.

Et bien sur Facebook !!! Hé oui comme quoi les réseaux sociaux aides à voir plus loin que le bout de son nez.
Mars 2017 je me rendais au salon du livre Paris et comme elle y présentait son premier roman historique : Le médaillon d’émeraude, on a pu se rencontrer et faire un brin de causette ! J’avoue que son roman ne me laissait pas de marbre alors j’en ai acheté un et il a tenu toutes ses promesse !
C’est de là qu’est partie ma belle aventure, par le biais d’Anne-Sophie j’ai reçu une invitation à son événement et découvert une maison d’édition : Les Éditions Abordables (LEA) que je ne connaissais pas.

L’événement : Le Goût des Livre

Comment vous dire que lorsque je suis arrivé accompagner de la blogueuse Adeline, je me suis légèrement, beaucoup sentit ‘‘Pas à ma place !!!’’.
Je m’explique je sortais du travail donc : jean, basket…et tous les autres convives étaient admirablement apprêté.
( en photo : regardez là sur le miroir avec le téléphone en mains, et des basket rose je vous pris!!!)

Mais cela n’a duré qu’un moment car que ce soit l’auteure, le Président des Éditions Mr Jean-Bruno Alexandre  ou les invités (Libraire, comédienne…) ils m’ont bien fait ressentir que j’étais bien là où je devais être.
Dans un endroit remplie de personnes qui aimes les mots et la littérature !!!Des personnes comme moi.
Et j’ai passé un moment inoubliable !!!

L’auteure un brin timide nous a présenté son roman et nous a raconter comment est née son idée.
J’adore !! et dire qu’elle a écrit en cachette !!
Petite surprise, c’est elle-même qui a peint la couverture de son roman.
Une auteure très agréable, qui est toujours dans le partage, l’échange et l’émotion.
Si vous ne connaissez pas son roman ci-joint le lien vers ma chronique de son livre :

La maison d’édition : Les Éditions Abordables.

Le nom de l’édition porte bien son nom : Abordables !
Leur principe fondamental : l’humain, être dans l’humain avant tous, ouverte à tous et même aux nouveaux auteurs qui font leur début.
Et nous savons tous la difficulté qu’est de trouvé une maison d’édition pour un auteur débutant dans ce milieu.
Le président : Mr Jean-Bruno Alexandre est un homme ouvert au monde et sa richesse, il a fait le pari de la pluralité des humains en créant cette maison d’édition en avril 2015.
 ( Anne-Sophie Le Bris et Jean-Bruno Alexandre)



Leur ligne éditoriale : ‘’La promotion de la langue française et sa culture autour de quatre collections en littérature, en réédition d’ouvrages anciens et en livres jeunesse et graphique’’.

Pour plus d’information je vous mets le lien vers leur page : http://leseditionsabordables.fr/presentation-123.html

Je remercie Mr Jean-Bruno Alexandre pour son accueil et ce moment très agréable que je n’oublierai jamais !
Je remercie Anne-Sophie Le bris pour l’échange et le partage de son amour pour l’écriture et de la littérature.

Le syndrome de Copernic d’Henri Loevenbruck

Le syndrome de Copernic d’Henri Loevenbruck, éditions J’ai lu, décembre 2007, 507 pages, 8€.   Synopsis : Un matin d'été ordin...