samedi 26 novembre 2016

Concours du 19 au 25 novembre 2016

Concours du 19 au 25 novembre 2016.

Pour vous permettre de découvrir un auteur et un jolie petit roman de la rentrée littéraire de 2016, je vous propose un concours sur ma pages facebook.

Les conditions :
*Aimer ma page FB
*Indiquer sous le poste de la page "je participe
*partagé le poste.


Le tirage au sort à été effectuer samedi 26 novembre.
Voici la liste des participants.




Vous avez étés 23 à participer.










                                   


Voici la vidéo du tirage au sort et la nomination du gagnant.


J'invite donc la gagnante à m'envoyer ses coordonnées via MP sur facbook.

Merci à tous pour votre participation.


Les disparus du phare, Peter May



A la recherche de ce que je fus…

Sur la place de l’ile des Hébrides, un homme reprend conscience avec grandes douleurs.
Frigorifié, il est complétement perdu. La peur et la panique l’envahissent lorsqu’il se rend compte qu’il ne sait plus qui il est. Tandis qu’il se relève péniblement et commence à marcher au hasard, il va croiser l’une de ses voisines qui au vu de son état, dont la blessure à la tête, va le raccompagner chez lui.
D’après elle il s’appelle Neal Maclean. Il est présent sur cette ile depuis dix-huit mois dans le but d’écrire un livre.
N’arrivant à ce souvenir de rien, il se met à la recherche de preuve de son identité chez lui.
Petit à petit il va se rendre compte qu’il n’y a aucun indice révélant qui il est chez lui.
Une angoisse profonde l’accompagne cependant depuis son réveil sur cette plage. L’impression d’avoir fait quelque chose d’horrible.
Mais le désire de découvrir qui il a été est plus fort et il va découvrir des choses déroutante et horrible sur son passé.

Peter May, ancien journaliste, résidant en écosse, propose, Les disparus du phare. Un roman au suspense extrême et bien construit. Un personnage principale profond, présentant différentes facette intrigantes.
Les descriptions trop nombreuses et surtout trop longues frêne la dynamique de l’histoire.
Toutefois le roman reste une histoire prenante qui prend possession de son lecteur.

Ma note: 17/20

Les disparus du phare, Peter May, édition Rouergue noir, aout 2016, 315 pages.

dimanche 20 novembre 2016

Journal d’un vampire en pyjama, de Mathias Malzieu



La maladie n’empêche pas l’humour….

Mathias Malzieu, auteur-compositeur-interprète du groupe Dionysos, dévoile sa lutte contre la maladie dans journal d’un vampire en pyjama.
« La salle d’attente est un no man’s land qui sépare le monde extérieur d’une porte coulissante d’où sortent des armées de blouse blanche. On dirait la zone duty free d’un aéroport un jour de crash »
Toujours dans l’humour, l’autodérision et les comparaisons qui donnent le sourire, il compte son quotidien de son entrée à sa sortie, de cet enfer.
Le changement s’opéré en lui, il voie la vie d’une autre manière, mais des changements se font aussi dans tout son entourage dévoilent les conséquences de la maladie d’un proche. Certain l’abandonne, d’autre s’inquiète et sa petit amie le soutien hardiment.
Fabuleux roman dans lequel les infirmières sont des nymphitmières bienfaisantes et savent redonner le sourire des malades en manque de bisous.
Ma note : 17/20
 
Journal d’un vampire en pyjama, de Mathias Malzieu, édition Albin Michel, 229 pages, février 2016.

mercredi 16 novembre 2016

Ce qu’il nous faut c’est un mort, d’Hervé Commère



Un demi-policier…

C’est en cette soirée du 12 juillet 1998 que le destin de six personnes va se jouer.
Marie va se faire violer, Méli va venir au monde et trois jeunes hommes de 19 ans vont renverser une jeune fille. Quand à William, il va faire la rencontre de sa future femme.
Cette nuit de fête sera pour chacun le point de départ vers un destin qu’ils n’auraient sans ça pas forcément suivie.
Hervé Commère, auteur d’Imagine le reste (2014) dont il recevra le prix de la plume de cristal du festival international du film policier de Liège, offre cette année, Ce qu’il nous faut c’est un mort.
Un roman ancré dans un petit village, Vrainville, dont sont originaire les personnages principaux.
Qu’ils restent ou partent par la suite ils y reviendront tous. Revenir là où tout à commencer pour eux.
Vrainville, cœur du récit avec son entreprise familiale Cybelle qui vie l’évolution économique de notre époque.
L’auteur nous propose dans ce roman plus l’histoire d’un village et de ses riverains qu’un roman policier. Il faut avoir lu plus de la moitié du livre pour accéder à la partie policier du roman.
Pas assez d’opacité dans l’histoire qui laisse entrevoir tout et empêche le suspense, trop de répétition donnant une sensation de ralentissement désagréable au lecteur.
Un roman policier qui se perd dans une histoire de soulèvement d’un petit village contre le patronaria pour garder ses vestiges du passé.

 Ma note : 10/20

Ce qu’il nous faut c’est un mort, d’Hervé Commère, édition Fleuvenoir, mars 2016,398 pages.

samedi 12 novembre 2016

Le dernier des nôtres, d’Adelaïde De Clermont-Tonnerre, édition Grasset Aout 2016,



Une origine inconnue, un amour évident, une histoire époustouflante et tendre.

1969, Manhattan, Werner Zilich dîne dans son restaurant préféré avec son meilleur ami Marcus. Werner qui est un tombeur invétéré, multipliant les conquêtes sans lendemain est soudain subjugué par la cheville d’une femme qu’il juge être délicate.
Cette femme est-elle une nouvelle conquête ou un coup de foudre ? Et comment peut-il s’y prendre pour faire sa connaissance ?
Lui qui sait y faire d’habitude commence à douter de lui.

1945, Allemagne, la guerre est partout. Le chaos, les morts longeant les rues en ruine, les bombes. Louisa donne naissance à son fils avant de mourir. Elle le confit au médecin en lui indiquant : ‘‘Il s’appelle Werner. Werner Zilich. Ne changez pas son nom. Il est le dernier des nôtres.’’
Adelaïde De Clermont-Tonnerre, romancière et journaliste pend à travers son roman, Le dernier des nôtres, deux époques différente.
Celle de 1945 avec une atmosphère noire, sombre sans espoir d’un future meilleur et celle de 1969 qui est tout son contraire ou la fête y règne et l’évolution possible.
Werner va non seulement découvrir l’amour mais aussi son passé, son origine loin de ses histoire qu’il pouvait imaginés.

Un roman magnifique dans lesquelles les amours : homme-femme ; mère-enfant ; frère-sœur, y sont décrit avec beauté.
Un chef d’œuvre qui ravira son lecteur jusqu’à la dernière page.

Ma note 17/20.
 

dimanche 6 novembre 2016

Double Je, Jean-François Pré, édition eaux troubles



Original, pétillant et addictif.

Nice, sur les hauteurs du Mont-Boron, un agent immobilier fait visité à Nestor Tredennis son appartement à vendre avec ‘‘zéro défaut’’. Bien que très attiré par l’appartement Nestor souhaite passer une nuit de ce dernier pour vérifier que les bruits du voisinage ne lui seront pas nocifs. L’agent immobilier accepte à son grand étonnement lui remet les clés.
C’est par cet incipit original que l’auteur, Jean-François Pré débute son roman Double Je.
Nestor sort et lorsqu’il revient pour y passer la nuit, c’est accueilli par les forces de l’ordre qu’il se fait arrêté avec grand fracas. Ne comprenant pas ce qui se passe ! Un cadavre vient d’être découvert dans l’appartement. Toutes les preuves sont contres lui, dont une vidéo le filmant à l’entrée de l’immeuble à l’heure du crime.
Nestor nie et pense que c’est son frère jumeau, Marc, qui est à l’origine du coup.
Aidé par Georges Langsammer, policier à la retraite et son avocate, Laurence Friedman, il va réussir à sortir de prison et prouvé son innocence.
A partir de cet instant le roman va emmener son lecteur dans une histoire étonnante, loin d’un simple meurtre, c’est une question de sécurité de toute l’humanité qui va se joué.
Jean-François Pré utilise la voix du ‘je’ narrative pour écrire.
Avec des chapitres originaux commençant pas : je, elle, il,  introduisant le personnage qui parle, il donne au texte une dynamique. Le ton employé par les personnages révèle leur personnalité et en fait des personnages hauts en couleurs.
Une écriture qui ne se perd pas en superflu et une intrigue bien ficelée qui ne laissent rien deviner sur le point de chute, si ce n’est que des suppositions.
Derrière la partie policière de ce roman se cache la thématique de la psychologie de la gémellité. Chaque jumeau, bien que l’un représente le mal et l’autre son contraire, ressentent dans leur corps et leur cœur, l’amour, la peur et la peine de l’autre.
Ancien journaliste de TF1 et du parisien, reconvertie en écrivain thrillers. Jean-François Pré, nous offre un polar pétillant et addictif.
Une enquête suivie par son lecteur au fil des pages comme si il s’y trouvait.
Un policier original qui ne pourra que vous ravir. A consommé sans modération !!

Double Je, Jean-François Pré, édition eaux troubles, aout 2016, 254 pages.

Ma note : 19/20

Le syndrome de Copernic d’Henri Loevenbruck

Le syndrome de Copernic d’Henri Loevenbruck, éditions J’ai lu, décembre 2007, 507 pages, 8€.   Synopsis : Un matin d'été ordin...