A la recherche de ce que je
fus…
Sur la place de l’ile des Hébrides, un homme
reprend conscience avec grandes douleurs.
Frigorifié, il est complétement perdu. La peur
et la panique l’envahissent lorsqu’il se rend compte qu’il ne sait plus qui il
est. Tandis qu’il se relève péniblement et commence à marcher au hasard, il va
croiser l’une de ses voisines qui au vu de son état, dont la blessure à la
tête, va le raccompagner chez lui.
D’après elle il s’appelle Neal Maclean. Il est
présent sur cette ile depuis dix-huit mois dans le but d’écrire un livre.
N’arrivant à ce souvenir de rien, il se met à la
recherche de preuve de son identité chez lui.
Petit à petit il va se rendre compte qu’il n’y a
aucun indice révélant qui il est chez lui.
Une angoisse profonde l’accompagne cependant
depuis son réveil sur cette plage. L’impression d’avoir fait quelque chose
d’horrible.
Mais le désire de découvrir qui il a été est
plus fort et il va découvrir des choses déroutante et horrible sur son passé.
Peter May, ancien journaliste, résidant en
écosse, propose, Les disparus du phare. Un roman au suspense extrême et bien
construit. Un personnage principale profond, présentant différentes facette
intrigantes.
Les descriptions trop nombreuses et surtout trop
longues frêne la dynamique de l’histoire.
Toutefois le roman reste une histoire prenante
qui prend possession de son lecteur.
Ma note: 17/20
Les disparus du phare, Peter May, édition Rouergue
noir, aout 2016, 315 pages.
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