Une origine inconnue, un amour
évident, une histoire époustouflante et tendre.
1969, Manhattan, Werner Zilich dîne dans son
restaurant préféré avec son meilleur ami Marcus. Werner qui est un tombeur
invétéré, multipliant les conquêtes sans lendemain est soudain subjugué par la
cheville d’une femme qu’il juge être délicate.
Cette femme est-elle une nouvelle conquête ou un
coup de foudre ? Et comment peut-il s’y prendre pour faire sa connaissance ?
Lui qui sait y faire d’habitude commence à
douter de lui.
1945, Allemagne, la guerre est partout. Le
chaos, les morts longeant les rues en ruine, les bombes. Louisa donne naissance
à son fils avant de mourir. Elle le confit au médecin en lui indiquant :
‘‘Il s’appelle Werner. Werner Zilich. Ne changez pas son nom. Il est le dernier
des nôtres.’’
Adelaïde De Clermont-Tonnerre, romancière et
journaliste pend à travers son roman, Le
dernier des nôtres, deux époques différente.
Celle de 1945 avec une atmosphère noire, sombre
sans espoir d’un future meilleur et celle de 1969 qui est tout son contraire ou
la fête y règne et l’évolution possible.
Werner va non seulement découvrir l’amour mais
aussi son passé, son origine loin de ses histoire qu’il pouvait imaginés.
Un roman magnifique dans lesquelles les amours :
homme-femme ; mère-enfant ; frère-sœur, y sont décrit avec beauté.
Un chef d’œuvre qui ravira son lecteur jusqu’à
la dernière page.
Ma note 17/20.
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