samedi 31 décembre 2016

Femme au bord du monde, de Catarina Viti



Une femme seule face à son monde !

Julia vient de perdre son mari, Mattéo. Il était son premier et unique amour. Elle l’a accompagné vers la mort avec courage et amour jusqu’à son dernier souffle.
Aujourd’hui elle se donne corps et âme dans le travail de la vigne. Refusant l’aide des autres, elle veut assumer seul le travail de plusieurs.
Peu à peu elle s’est isoler, ne répond plus au téléphone et ne cherche plus le contact humain. Seule la beauté offerte par la nature lui est agréable.

Elle dit se sentir bien, n’avoir besoin de rien et être heureuse, jusqu’au jour un accident va bouleverser sa vie et la ramené à la réalité.

Julia va se voir confronter à elle-même et devoir sortir de ce non-monde où elle a laissé une part d’elle-même.

Dans Femme au bord du monde, L’auteure Catarina Viti peint à travers ses descriptions du paysage, toute la beauté qu’éveil la nature sur le cœur humain. Des paysages magnifiques mit en scène à travers une panel de couleur.
Bien que les descriptions fassent tout le charme du roman, leur quantité trop nombreuse ralentissent le rythme de lecture ainsi que la dynamique du texte.

Julia va reprendre le contact avec les humains en commençant par son acuponcteur, Mr Jacques Laville, qui va l’aider dans sa quête. Julia veut savoir pourquoi elle à changer. Qu’est ce qui lui est arrivé. Elle fera la rencontre d’une femme étrange certes, mais qui la comprend et la guidera au travers de cette épreuve.

Un roman mi- fiction mi- réel dans lequel le lecteur découvre des personnages atypiques et un monde spirituel insoupçonnable. Une femme prête à tout pour s’en sortir jusqu’à croire à des phénomènes qu’elle n’aura jamais accepté et qui s’impose à elle comme une évidence.

Femme au bord du monde, de Catarina Viti, septembre 2016, 182 pages.

Ma note : 17/20         

vendredi 30 décembre 2016

Tardigrade, de Pierre Barraul



A travers le Tardigrade.

Voilà un animal tout à fait étonnant !!!!
Le tardigrade ou ourson d’eau est le seul animal connu à ce jour pouvant vivre dans l’environnement hostile du vide spatial.
Pierre Barrault, libraire à Paris, vient de publier son premier roman, Tardigrade.
A travers le jeu du ‘‘je’’, l’auteur place le Tardigrade comme narrateur, livrant au lecteur la vie de cet animal dans notre environnement humain ainsi que sa vision sur nos comportements.
Seront évoqués les sentiments humains tels que l’amour et la peur. La mort et le temps qui passe sont aussi des notions essentielles dans cette œuvre.
L’animal microscopique créature mesurant environ 1 mm propose au lecteur une visite tel un agent immobilier dans les divers appartements de son immeuble.

De petits chapitres, de petits paragraphes liés au fait de la taille de la créature ?
Ce qui est certain c’est que l’humour de l’auteur ravira les lecteurs avides de savoir et de découverte autant que les sceptiques….

Tardigrade, de Pierre Barraul, édition Arbre Vengeur, 2016, 124 pages.

Ma note 15/20                                   

dimanche 25 décembre 2016

Le cri du cerf, de Johanne Seymour



Lorsque le passé ressurgie….

Kate McDougall, sergent de police, fraichement mutée à Perkins, se réveille dans son chalet et va faire quelques brasses dans le lac bordant sa résidence.
En revenant sur le rivage, elle découvre avec horreur, une enfant morte dans le lac.
‘‘Son corps ballotte sur l’eau. Sa tête auréolée de cheveux noirs, ondule comme une méduse. Ses bras en croix donnent envie de prier. Elle ne peut avoir plus de neuf ans’
Quelques jours plus tard une autre fillette est retrouvée morte non loin de là.

C’est par cet incipit que l’auteur, Johanne Seymour, débute son roman, Le cri du cerf. Incipit captivant qui scotche le lecteur à l’histoire dès le début.

L’enquête de police mènera Kate à se replonger dans son passé douloureux. Sous forme d’entretient avec le psychiatre Dr Marquise Létourneau, Kate va révéler au lecteur toute sa réticence à se dévoiler, jusqu’à commettre des actes impensables.

Une double intrigue se dessine à mesure que l’histoire évolue.
L’équipe d’enquête réussira-t-elle à arrêter le tueur avant qu’il ne fasse une nouvelle victime ?
Quelle est le lien entre le passé de Kate et les meurtres des petites fillettes ?

Des personnages bien construits, avec leur propre personnalité. Un meurtrier insoupçonnable jusqu’à la fin ainsi que des chapitres courts donnent une très bonne dynamique à l’histoire et le rend ‘addictif’ du début à la fin.

Petite cerise sur le gâteau, la révélation en fin de chemin du sens du titre du roman. Magnifique lecture.

Le cri du cerf, de Johanne Seymour, édition eaux trouble, mai 2016, 303 pages. 

Ma note 18/20

A paraitre du même auteur : 


Résultat de concours de Noel 2016.

Bonjour,

Tous d'abord je vous souhaite à tous un joyeux noël.
Vous avez êtes 51 a participer au concours de noël ( voir la liste des participant dans l'article précédent Concours de noël)  et je remercie tout les participants.

Voici venir l'heure du résultat.

Le tirage au sort à été effectué via Dcod.
Voici les captures d’écran.


Et voici le tant attendu gagnant :




Le numéro gagnant est le 48 soit Mel Lemaire

Merci à tous pour votre participation.
J'attends l'adresse de Mel Lemaire en MP sur Facebook
Bonne journée à tous.


Concours de Noel 2016.




*****CONCOURS de NOËL*****
 
 Ouvert du 10/12/2016 au 24/12/216 minuit !!!!

Amis des livres bonjour, pour vous faire plaisir pour noël.
Je vous propose un petit concours.

Pour participer :
-Laisser un commentaire pour dire que vous participer.
-Partager en mode publique.

!!!!Attention, pour valider votre participation, vous devez, laisser le commentaire sous le poste du concours de la page FB : https://www.facebook.com/LadieLivre/?ref=aymt_homepage_panel   !!!

Bonne chance à tous. 



 Bonjour, Nous somme le 26/12/2016.
Je vous souhaite un joyeux Noël 2016 .
 


VOICI LA LISTE DES PARTICIPANTS AU CONCOURS.

Le syndrome de Copernic d’Henri Loevenbruck

Le syndrome de Copernic d’Henri Loevenbruck, éditions J’ai lu, décembre 2007, 507 pages, 8€.   Synopsis : Un matin d'été ordin...