Dans son silence, d’Alex Michaelides, éditions Calmann Levy noir, février 2016, 373 pages, 20.50€.
Synopsis :
Alice
Berenson est une jeune peintre britannique très en vogue qui vit dans une
sublime maison aux alentours de Londres avec Gabriel, photographe de mode. Mais
dès la première scène, le portrait de famille s’effondre : Alice est retrouvée
chez elle, hagarde et recouverte de sang, devant son mari, ligoté et défiguré
par des coups de couteaux fatals. Aussitôt arrêtée, Alice ne prononce plus
jamais le moindre mot, ni devant la presse qui la diabolise aussitôt, ni au
tribunal. Elle est jugée mentalement irresponsable et envoyée dans une clinique
psychiatrique.
Six ans plus tard, le docteur Theo Farber, jeune psychiatre ambitieux, n’a
qu’une obsession : parvenir à refaire parler Alice afin de pouvoir écrire un
livre à succès sur son cas. Lorsque Theo apprend qu’une place se libère dans la
clinique d’Alice, il fonce, et se fait embaucher. Quel choc pour lui de
découvrir la si jolie peintre dans un tel état de laisser-aller et d’hébétude –
elle est bourrée de calmants. Tout en baissant progressivement ses doses, il
entame une série de face-à-face glaçants dans l’espoir de lui extirper un mot.
Alors qu’il commence à perdre espoir, Alice s’anime soudain, mais sa réaction
est tout sauf ce qu’il attendait… En parallèle, nous rencontrons l’Alice
d’avant le drame, grâce aux pages de son carnet intime. Nous découvrons une
jeune artiste très touchante, éperdument amoureuse de Gabriel, mais meurtrie
par une panne d’inspiration, et inquiète par une présence qu’elle sent autour
de la maison, quand Gabriel n’est pas là.
Six ans plus tard, le docteur Theo Farber, jeune psychiatre ambitieux, n’a qu’une obsession : parvenir à refaire parler Alice afin de pouvoir écrire un livre à succès sur son cas. Lorsque Theo apprend qu’une place se libère dans la clinique d’Alice, il fonce, et se fait embaucher. Quel choc pour lui de découvrir la si jolie peintre dans un tel état de laisser-aller et d’hébétude – elle est bourrée de calmants. Tout en baissant progressivement ses doses, il entame une série de face-à-face glaçants dans l’espoir de lui extirper un mot. Alors qu’il commence à perdre espoir, Alice s’anime soudain, mais sa réaction est tout sauf ce qu’il attendait… En parallèle, nous rencontrons l’Alice d’avant le drame, grâce aux pages de son carnet intime. Nous découvrons une jeune artiste très touchante, éperdument amoureuse de Gabriel, mais meurtrie par une panne d’inspiration, et inquiète par une présence qu’elle sent autour de la maison, quand Gabriel n’est pas là.
Rubrique :
mes petits commentaires.
= Un roman psycho
psychiatrique addictif.=
Les
points négatifs :
désolée, mais je n’en ai pas trouvé. Un roman psycho psychiatrique noir qui se dévore.
Les
points positifs :
c’est d’une écriture fluide, sans temps mort que l’auteur utilise dans ce roman
pour en faire une lecture addictive.
Pour
les adeptes comme moi d’histoire psychiatrique, vous allez en avoir pour votre
argent.
De
nombreuses références à des psychiatres de renom tels que : Freud,
Winnicott et bien d’autres seront présents dans ce roman.
Un
magnifique roman, du début à la fin l’intrigue est là.
Persuadé
du vrai coupable, je me suis pris une claque monumentale à la fin du roman !
Un
dénouement inimaginable.
Je
me suis délectée de ce roman qui a joué avec mes émotions et mes nerfs.
Enfin,
un roman psycho psychiatrique original, haletant et qui coupe le souffle pour
son final !
Citation : ‘‘Le problème, c’est que nous sommes devenus
tellement frileux que nous préférons avoir recours à la surmédicalisation plutôt
que de prendre des risques. Il nous faut être assez courageux pour nous adapter
à la folie, pour accueillir plutôt que d’essayer de l’emmurer.’’
Ma
note : 21/20 plume d’or de mes
aventures livresques, gros coup de cœur.
Un
avis By Maria Lebreton.
Quelques
mots sur l’auteur :
Alex Michaelides est un scénariste britannique né à Chypre en 1977.
Né d'un père grec et d'une mère anglaise, il a étudié la littérature anglaise à l'Université de Cambridge et est titulaire d'un M.A. en scénarisation à l'American Film Institute à Los Angeles.
Il est le scénariste du film "The Devil You Know" (2013) et le coscénariste de "The Con Is On" (2018), réalisé par James Oakley avec Uma Thurman et Tim Roth.
Il a aussi étudié la psychanalyse, et a travaillé deux ans dans une clinique psychiatrique pour jeunes.
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