dimanche 11 novembre 2018

Zapping, de Carol Higgins Clark


= Un thriller/Un polar ? =



New York, 2003.
La nuit tombe en cette période de canicule. Au même moment un gros orage dans le Middle West fait tombée la foudre sur un transformateur à haute tension dans l’Ohio déclenchant une cascade de coupure électrique. C’est le black-out.
Tous dans le noir, la porte est ouverte aux malfaiteurs en tout genre.

Le lecteur va suivre quatre intrigues en parallèle :
   *Loraine Lyly, actrice atterri à l’aéroport de Kennedy.
Elle va apprendre par le biais d’un appel téléphonique de son mari que ce dernier a déjà lancé la procédure de divorce et vendu leur loft. Elle est paniquée et dans une colère noire suite à l’annonce de cette vente.  Qu’a-t-elle à cacher ?
   *Chez les Régan, un voleur va enfermer sur le balcon, madame.
 Jack son mari est à la tête de la brigade des enquêtes spéciale, elle est un détective privé. Ils vont se lancer dans la recherche du supposé voleur.
   *Pendant ce temps, un vol à lieu dans une galerie de cristal.
   *Tandis qu’une femme psychopathe accroche et drague des hommes au profil bien spécifique pour les tuer.

A travers ce roman que je qualifierais de policier et non de thriller, comme indiqué sur la couverture (déception pour moi !!!), le lecteur va suivre les 4 intrigues en même temps.
Seule la 4éme, concernant cette femme tueuse d’homme m’a plu.

Des événements et passages parfois trop surfaits, du ‘‘comme par hasard !!!’’ dirais-je.
Des choses qui tombent bien au bon moment et une sensation de déjà-vu.
Un livre qui maque d’originalité.

Un livre qui ne m’a pas plus, une lecture simplement distrayante.
Je garde un arrière-goût de déception concernant la couverture annonçant un thriller et le faite que seul 1/5 du livre, voire même moins ne concerne un thriller.


Zapping, de Carol Higgins Clark, éditions Le livre de poche, avril 2011, 315 pages, 6.95€.
 


Ma note  8/10
                                                                                                          Un avis
                                                                                                               By
                                                                                                   Maria Lebreton.



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