dimanche 11 novembre 2018

A l’heure où je succombe, de Jean-Pierre Favard


= Meurtre et légendes. =

 


Un groupe d’amis : Julien, Valérie, Thomas et Lou, va passer une semaine loin de tout pour fêter la fin de leur examen et leur réussite éventuelle.
Ils ont décidé d’aller dans l’ancienne maison des parents de Julien dans le Morvan.
Sans que ses amis le sachent, Julien qui avait été réticent à y aller au début va céder à leur demande et y aller tout de même.

Julien ne leur a jamais raconté son passé et les mauvais souvenirs liés à cette maison, notamment la perte d’un être chère.
‘‘J’avais encore du mal à y croire. Comment avaient-ils fait pour me convaincre de revenir ici ? Dix ans après. Moi qui m’étais pourtant juré de ne plus jamais  remettre les pieds dans cette foutue baraque. En tout cas pas après que…’’

Un petit groupe d’amis joyeux qui va vite déchanter.
Entre événements étranges, découverte de la vérité sur le passe de Julien, les vacances vont vite se transformer en cauchemar !

L’auteur va emmener son lecteur dans une histoire dans laquelle l’intrigue est faite de meurtre et de légendes locales.
Une écriture fluide et claire qui permet au lecteur d’entrer rapidement dans l’intrigue.

Pour moi, cette histoire a un arrière-goût de déjà vu, je ne l’ai pas trouvée originale. Certes, certains passages peuvent faire peur, mais je n’ai pas ressenti de réelle frayeur à la lecture.
Je pense que ce livre serait plus destiné aux lecteurs de 13-16 ans et non à une lectrice comme moi qui a déjà lu beaucoup de romans noir parfois très hard !!!

En bref, une lecture sympathique qui ne m’a pas effrayé plus que ça.
Le dénouement reste cependant étonnant.


A l’heure où je succombe, de Jean-Pierre Favard, Séma éditions, mais2018, 165 pages, 13€.



Ma note : 12/20                                                                          Un avis
                                                                                                       By
                                                                                            Maria Lebreton.



 

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