dimanche 8 janvier 2017

La loi de Gaia, de Caroline Giraud



Une explosion de sentiments pour les lecteurs…..

Sarah, 17 ans vient passer ses vacances d’été chez ses parents. Elle rencontre dès son arrivée à l’aéroport, Kagan Kozul, le tatoué qu’on prit ses parents pour être à leurs services.
Dès le départ Kagan sens qu’elle est hautaine et qu’elle rejoint les idées de ses parents concernant sa situation.
La première impression de Kagan est-t-elle bonne ?

Le monde à changer. La fin de la guerre, les attentats et la nouvelle loi instaurée : La loi de Gaia ont transformés le monde que l’on connait aujourd’hui.
Comme un retour en arrière dans notre histoire de la civilisation, les tatoués issues de la loi de Gaia sont au service des civiles. Ils sont des esclaves modernes.

Une relation forte va s’installée entre Sarah et Kagan avec la complicité de son frère Nathan. Un conte moderne de Roméo et Juliette dont l’issue est surprenante !

L’auteure, Caroline Giraud utilise l’anachronisme, revenant cinq années plus tôt avant les faits.
‘‘Je vais te tuer. J’ai vécu sous ton ombre. Ca fait cinq ans’’
Dès le début de son roman, l’incipit est poignant et pousse le lecteur à la poursuite de son lecteur avec grand intérêt.

La thématique des sentiments complexe de l’être humain tels que : la haine, l’amour, le désespoir, la peur et le respect prennent tous leurs sens.

Caroline Giraud à sut trouver les mots juste pour exprimer la complexité des ressentis des personnages. Les mots, les phrases transpercent le lecteur et savent le ramener à ses propres sentiments.

Des personnages au profil psychologique bien travaillé donnent un réalisme certain à la lecture de ce roman de science-fiction.

Un roman qui fera voyager son lecteur dans un autre monde et lui fera ressentir tout un éventail de sentiments.
Une magnifique étoile filante qui le temps d’une lecture fait apprécier le monde dans lequel nous vivons actuellement.
Un roman intelligent !

La loi de Gaia, de Caroline Giraud, édition Bookelis, collection : en toutes lettres, juin 2016, 398 pages.

Ma note : 20/20         

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