‘‘Le prêtre prononce le prénom de la
morte. Il le martèle. A plusieurs reprises ; s’en délecte, on dirait.
Karine. Karine’’
Juin
2003, Mati à neuf ans et viens de perdre sa mère. Elle est très triste et pour
atténuer son chagrin, elle écrit des lettres à sa mère tout en espérant qu’elle
les recevra et les lira.
Quant
à son père, Nicolas, lui plonge et s’enlise. Il n’arrive pas à surmonter la
mort de sa femme.
La
mère à Nicolas aide tant bien que mal à aider son fils, mais c’est sans espoir.
Le temps jouera peut-être son rôle !
Mais
2004, la grande –mère attend sa petite fille qui doit rentrer de l’école, mais
en vain !!! Mati à disparue. Toutes les possibilités sont envisagées, sauf
la réelle cause de cette absence. Même vous, lecteurs ne pourrez
l’imaginer !!!
Et
pourtant comme le titre le dit le titre du roman si ce terrifiant événement
venait uniquement d’une bonne intention !
C’est
avec délicatesse, sans fioritures et avec un style que l’autrice plonge son
lecteur dans une histoire agréablement surprenante.
Une
intrigue bien ficelée jusqu’à la fin.
Des
personnages et des situations qui vont mettre les émotions du lecteur à rude
épreuve.
Tantôt
joyeux, tantôt inquiet et triste, le tout avec un amour débordant.
Un
magnifique roman psychologique, un chef-d’œuvre pour moi, que je vous invite
sans retenue à découvrir.
Ma
note : 20/20 Chronique
by Maria Lebreton.
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